Dans la guerre de moyen orient, au moins 33 personnes ont été tuées lundi, selon la Défense civile palestinienne, dans le bombardement d’une école de la ville de Ghaza.
L’entité sioniste affirme que le la frappe a visé « des terroristes de premier plan ». Alors que dimanche, la Défense civile a dénombré 22 morts également dans la bande de Ghaza, dont une femme enceinte et des enfants, dans une série de frappes aériennes.
Malgré les pressions internationales, les bombardements israéliens continuent de frapper la bande de Ghaza qui intensifie son offensive.
Ce lundi, au moins 33 personnes ont été tuées et 60 sont blessées, selon la Défense civile palestinienne, dans le bombardement d’une école de la ville de Gaza par Israël. Les victimes, pour la plupart des enfants, et plus de 60 blessés se trouvaient dans « l’école Fahmi AlJarjaoui, qui abrite des centaines de personnes déplacées dans le quartier d’Aldaraj, dans la ville de Ghaza », a déclaré le porte-parole de la défense civile Mahmoud Bassal à l’AFP.
Une frappe meurtrière israélienne alors que dimanche déjà, la Défense civile avait dénombré 22 morts également dans la même zone, dont une femme enceinte et des enfants, dans une série de frappes aériennes.
De son côté, l’armée isioniste indique dans un communiqué que le la frappe de ce lundi a visé « des terroristes de premier plan qui opéraient dans un centre de commandement et de contrôle du Hamas et du Jihad islamique installé dans une zone qui servait auparavant d’école dans le secteur de la ville de Ghaza ».
Pour rappel, rompant une trêve de deux mois, Israël a repris son offensive à la mi-mars sur la bande de Ghaza et a intensifié ses opérations militaires le 17 mai, dans le but affiché d’anéantir le Hamas, libérer les derniers otages et prendre le contrôle du territoire.