Se décrivant comme un « penseur libre », le gamin bien inspiré par son dab: « Si j’étais aux manettes et que l’Algérie arrêtait (l’écrivain) Boualem Sansal, je brûlerais l’ambassade, je stopperais tous les visas, j’augmenterais de 150 % les tarifs douaniers… »

Des paroles que l’association juge constitutives d’une provocation publique à la commission de crimes, infraction prévue et réprimée par l’article 24, alinéa 1, de la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse. Selon le signalement adressé à la procureure de la République, ces propos remplissent toutes les conditions légales pour être poursuivis.

L’association alerte sur la gravité de tels propos, notamment dans un contexte de tensions diplomatiques entre la France et l’Algérie. Elle exhorte la justice à examiner la qualification juridique de ces déclarations et à engager les poursuites appropriées.

Maintenant la balle est dans le camp de la justice française qui doit montrer qu’elle ne fait pas dans le double standard, car les cas des « influenceurs » algériens condamnés et emprisonnés pour propos bien moins graves sont encore présents aux esprits.  Avec Médias

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