Le ministre des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l’étranger, Ahmed Attaf, a participé , ce jeudi, à New York à une table ronde intitulée « Les guerres ont des limites: garantir un plus grand respect des conventions de Genève 75 ans plus tard », organisé par l’Algérie et le Royaume de Norvège en coordination avec le Comité international de la Croix-Rouge et l’Institut international pour la paix.
Le débat a été consacré aux moyens d’assurer un plus grand respect des quatre Conventions de Genève qui ont été ratifiées il y a soixante-quinze ans face à des violations flagrantes de leurs dispositions dans de nombreuses guerres et conflits armés que connait le monde.
À cet égard, la participation du Ministre Ahmed Attaf a été l’occasion de renouveler l’engagement de l’Algérie envers les principes et fondements du droit international humanitaire. Une occasion de mettre en exergue les graves défis existentiels auxquels est confrontée l’application des Conventions de Genève dans de nombreux foyers de conflit du monde, notamment le génocide commis contre le peuple palestinien et l’escalade qui s’ensuit au Liban et dans la région dans son ensemble, ainsi que les nombreuses crises qui continuent à causer des dommages et des souffrances aux civils non armés sur le continent africain.
Le débat a été consacré aux moyens d’assurer un plus grand respect des quatre Conventions de Genève qui ont été ratifiées il y a soixante-quinze ans face à des violations flagrantes de leurs dispositions dans de nombreuses guerres et conflits armés que connait le monde.
À cet égard, la participation du Ministre Ahmed Attaf a été l’occasion de renouveler l’engagement de l’Algérie envers les principes et fondements du droit international humanitaire. Une occasion de mettre en exergue les graves défis existentiels auxquels est confrontée l’application des Conventions de Genève dans de nombreux foyers de conflit du monde, notamment le génocide commis contre le peuple palestinien et l’escalade qui s’ensuit au Liban et dans la région dans son ensemble, ainsi que les nombreuses crises qui continuent à causer des dommages et des souffrances aux civils non armés sur le continent africain.