L’ex-candidate socialiste à la présidentielle de 2007 dénonce « une propagande de guerre par la peur » par le président ukrainien afin d’interrompre le processus de paix.
Ségolène Royal a provoqué un tollé après son passage sur BFMTV, jeudi 1er septembre. L’ex-candidate socialiste à la présidentielle de 2007 a mis en doute les crimes de guerre qui ont eu lieu pendant la guerre en Ukraine affirmant qu’il s’agissait d’une « propagande » de Volodymyr Zelensky.
Pour Ségolène Royal, « il (Volodymyr Zelensky) a utilisé ça » pour interrompre le processus de paix. Elle a aussi mis en doute le massacre de Boutcha ou « le récit de viol d’enfant pendant sept heures sous les yeux des parents ». « C’est monstrueux d’aller diffuser des choses comme ça uniquement pour interrompre le processus de paix », a-t-elle affirmé.
Ségolène Royal a dénoncé « une propagande de guerre par la peur » de la part du président ukrainien Volodymyr Zelensky, et a notamment mis en doute la réalité de « la maternité bombardée » dans le sud-est de l’Ukraine en mars. « Vous pensez bien que s’il y avait la moindre victime, le moindre bébé avec du sang, à l’heure des téléphones portables on les aurait eues (les images)… », a-t-elle affirmé.
"Il y a une propagande de guerre par la peur": Ségolène Royal met en doute certains possibles crimes de guerre en Ukraine pic.twitter.com/C02qnhfQtr
— BFMTV (@BFMTV) September 1, 2022