Inculpé pour atteinte à l’unité nationale, outrage à corps constitué, pratiques susceptibles de nuire à l’économie nationale, possession de vidéos et de publications qui menacent la sécurité et la stabilité nationales, Boualem Sansal a été condamné, jeudi, 27 mars à cinq ans de prison ferme par le tribunal correctionnel de Dar El Beida (Alger).

En détention depuis novembre, Sansal a, finalement, écopé de la moitié de la peine requise par le parquet le 20 mars dernier.

Au centre d’une agitation rocambolesque alimentée par tout ce qui compte de la droite « dure » et de l’extreme droite en France, qui croyaient  et « rêvaient » de faire plier l’Algérie par leurs gesticulations, Sansal restera, donc en prison.

1 COMMENTAIRE

  1. Certains disent (ou propose) « il va servir de monnaie d’échange »
    —–
    C’est la chose la plus sale à ne pas faire!!
    Ne jamais tomber dans le piège de l’échange! C’est un procédé de voyous; de maîtres-chanteurs!
    C’est l’Algérie qui sera perdante sur tous les plans: juridique, politique, confiance.
    C’est ce que veut précisément cette France de voyou!
    Elle fait du marchandage au détriment des lois et de la souveraineté de l’Algérie, pour sauver son agent qui est traître à son pays!
    Cette France est capable de « l’échanger » contre tous les voyous y compris Bouchareb pour sauver son agent…tout en introduisant d’autres agents parmi ces voyous.
    Les milieux qui proposent l’échange sont en Algérie sur orientation de cette France. Il faudra les débusquer ! Ce sont les restes de la « 3issaba » qui activent toujours!
    Échange contre d’autres Algériens recherchés aussi par la justice? Foutaise!
    Ils doivent tous répondre de leurs actes, tôt ou tard, en conformité avec la loi, devant la justice algérienne, où qu’ils se trouvent sans aucune condition!
    Point!
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