Poursuivant ses attaques racistes contre l’Algérie, le ministre de l’Intérieur français, Bruno Retailleau est entré dans un égout duquel il ne pourra, certainement pas, en sortir.
Dans son intransigeance à vouloir, coute que coute, en découdre avec notre pays à qui, il voue une haine inextinguible, voulant satisfaire une extreme droite revancharde, il s’est, fourvoyé tout le bras dans l’oeil. Pour preuve, sa déclaration ce samedi au Parisien dans laquelle il a réaffirmé la ligne de fermeté qu’il prône vis-à-vis d’Alger qu’il dit non négociable.
Il a, clairement, déclaré que « si elle venait à être remise en cause par le reste de l’exécutif, il ne verrait plus d’utilité à rester à son poste. «Je ne suis pas là pour une place mais pour remplir une mission, celle de protéger les Français. Tant que j’ai la conviction d’être utile et que les moyens me sont donnés, je serai mobilisé. Mais si on me demandait de céder sur ce sujet majeur pour la sécurité des Français, évidemment que je le refuserais», a t-il déclaré.
La sécurité des français dont des millions sont d’origine algérienne n’est-elle menacée que par quelques délinquants algériens sous OQTF ? Retailleau prend-il ses compatriotes pour des corniauds ? Sinon que fait-il de tous ces étrangers et Dieu sait qu’ils sont nombreux, qui se sont constitués en véritables maffias comme les albanais et les Roms qui se sont accaparés de quartiers parisiens entiers et qui font des hold-up et des enlèvements leurs activités principales ?
C’est carrément du chantage au gouvernement dont il fait partie et au président Macron qui prône, lui, une attitude plus prudente et plus raisonnable du fait que la crise entre les deux pays est, certes, très regrettable mais pas au point d’aller vers une rupture qui serait irrémédiable pouvant mener à des conséquences incalculables.
Au final, Retailleau est, de son propre aveu, désavoué par le gouvernement auquel il appartient et son président et à voir l’évolution des événements, devra jeter l’éponge et aller pleurer dans le gibet de ses amis extrémistes, racistes et revanchards.