Quelques jours après avoir suspendu ses relations avec les consulats de Marseille et de Montpellier, l’Algérie a décidé d’en faire de même avec la ville de Nice. Une décision qui entraîne l’arrêt immédiat des délivrances des laissez-passer consulaires.
La crise diplomatique entre Paris et Alger prend une nouvelle tournure et entraîne de nombreuses répercussions, y compris au niveau local.
Selon des informations de la Radio Europe 1, ce mardi 11 mars, l’Algérie a décidé de suspendre ses relations consulaires avec la ville de Nice, dirigée par Christian Estrosi, vice-président du parti Horizons.
Conséquences directes de cette décision : l’arrêt immédiat des auditions consulaires concernant les ressortissants algériens retenus en centre de rétention administrative et la suspension des délivrances de laissez-passer consulaires.