Le FOU de la Maison-Blanche, Donald Trump vient de récidiver en proférant une autre insanité lançant un ultimatum au Hamas le « sommant » de libérer tous les captifs israéliens restants encore aux mains du mouvement de résistance palestinien et non par groupes de trois comme convenu dans l’accord de trêve conclu avec l’entité sioniste.
Le FOU de la Maison-Blanche s’en prend au monde entier, après ses lubies d’attacher le Groeland à son pays, les taxes imposées au Canada et au Mexique, son intention d’en faire de même avec l’Europe et de s’acquérir La bande de Ghaza ainsi que ses attaques contre l’Iran et l’Afrique du Sud, voilà maintenant qu’il saborde l’accord de trêve difficilement conclu et proférant des menaces, qui à n’en pas douter, s’apparentent à une intention d’utiliser « la FORCE » car, comment interpréter ses propos on ne peut plus clairs, nous citons: « Si Hamas ne libérera pas tous les captifs (ils les nomment otages) samedi à midi, les portes de l’enfer s’ouvriront ». Il n’omet pas au passage « d’égratigner » la Jordanie, paraissant sûr qu’elle recevra les palestiniens de Ghaza, si elle ne voulait pas voir les subsides coupés.
Les observateurs du monde entier s’interrogent sur ces sorties folles et arrogantes du FOU de la Maison Blanche mais à voir de près, l’énergumène, dans sa folie, semble bien conscient de ses actes et on peut y voir de la « cohérence » puisqu’il semble sur de lui quant à l’avenir de la bande de Ghaza. Il compte intervenir militairement, forçant la population ghazaoui à quitter la terre de leurs ancêtres, les cananéens présents en Palestine bien avant l’histoire de la terre promise tant prônée par les juifs qui étaient encore esclaves sous leurs maitres égyptiens. Il compte donc, les déplacer par la force, sous le feu d’une action militaire et de ce fait les obliger à fuir vers les pays limitrophes qui ne sont que… l’Egypte et la Jordanie.
Cette déclaration faite, tard dans la soirée de ce lundi, lors de la signature de plusieurs autres décrets controversés dans la suite des centaines qu’il a pris durant ces vingt premiers jours de pouvoir, a, sans aucun doute, été suivie par les dirigeants du monde entier qui, ne sachant comment répliquer à autant de folie, surtout les pays les plus concernés et la nation arabe entière, doivent bien méditer ces propos et se préparer au pire en unissant leurs forces et moyens pour contrer ce FOU À LIER. Hakim Ghali
