Le Conseil de sécurité a examiné, jeudi, les conséquences  des deux frappes aériennes israéliennes récentes contre une école dans la région de Nouseirat à Ghaza, qui ont occasionné 18 morts dont des femmes, des enfants et six membres de l’UNRWA.

Cela porte le nombre de victimes de l’Agence à plus de 220 depuis le début de l’agression israélienne contre le peuple palestinien.

La demande de l’Algérie pour cette rencontre s’inscrit dans le sillage de la vague de condamnation internationale suite à ces attaques.

De nombreux États et organisations se sont empressés de condamner ce ciblage délibéré d’Israël contre des abris de l’UNRWA qui constitue un crime de guerre en droit international, car les infrastructures humanitaires et le personnel bénéficient d’une protection spéciale en droit international humanitaire.

Face à l’intensification de la condamnation internationale des crimes de l’occupant sioniste, ce dernier a cherché à falsifier les faits en accusant les factions palestiniennes de se dissimuler entre des civils, causant des pertes tragiques parmi eux.
Des arguments que l’occupant en fait écho chaque fois que l’étau se resserrait autour de lui dans une tentative de se soustraire aux demandes persistantes de mettre fin à l’impunité des responsables sionistes qui sont tenus de rendre compte de leurs crimes par devsnt les instances compétentes..

Par ailleurs, le porte-parole du secrétaire général des Nations unies a fait une déclaration dans laquelle il a condamné le meurtre de ces innocents et appelé à une enquête approfondie pour s’assurer que les responsables soient tenus responsables. Il a également renouvelé la demande du Secrétaire général pour un cessez-le-feu immédiat.

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