L’ancien ministre de la Défense et chef du Parti de l’unité nationale Benny Gantz avait fixé, le 19 mai dernier, un ultimatum au Premier ministre israélien pour adopter un plan d’action stratégique, notamment sur l’organisation de l’après-guerre dans la bande de Ghaza. Sans réponse de Benjamin Netanyahu, il sera contraint de démissionner du gouvernement.

Et c’est ce qu’il a fait, ce dimanche 9 juin, lors d’une conférence de presse.

Le sinistre Netanyahou, sous ultimatum alors, avait réagi par le biais d’un communiqué et déclaré que les conditions posées par Benny Gantz sont des propos rabâchés dont le sens est clair : la fin de la guerre et la défaite d’Israël, accusant son rival de chercher une excuse pour renverser le gouvernement et vouloir la création d’un État palestinien.

Il faut dire que Gantz appuie la dernière proposition de Joe Biden qui ne trouve, pas encore, écho de la part du Hamas.

Il est clair que le cabinet de guerre qui vient de se fissurer démontre le lamentable échec de l’entité sioniste considérée, à tort, comme invincible et qui va de revers en revers, le dernier en date son classement dans « la liste de la Honte » par l’ONU.

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