Le Parlement européen a demandé, jeudi, pour la première fois un « cessez-le-feu permanent » à Ghaza et le lancement d’efforts politiques pour trouver une solution à la guerre entre Israël et le Hamas.
Le Parlement européen appelle à un « cessez-le-feu permanent » dans la bande de Ghaza. Les eurodéputés ont adopté jeudi une résolution en ce sens mais qui n’est pas contraignante.
Toutefois, ce texte marque un changement significatif par rapport à la position précédente du Parlement, adoptée en octobre, qui appelait à une « pause » humanitaire afin d’accélérer l’acheminement de l’aide aux civils de Ghaza mais d’un autre coté la résolution a été adoptée après l’approbation d’un amendement précisant qu’un cessez-le-feu devrait être subordonné à la libération de tous les otages détenus à Ghaza et au « démantèlement » du Hamas, désigné comme une organisation terroriste par l’UE.
« Une paix durable ne peut exister tant que le Hamas et d’autres groupes terroristes détournent la cause palestinienne et menacent l’existence d’Israël », a expliqué mardi l’eurodéputé Antonio López-Istúriz (PPE).
Hilde Vautmans, eurodéputée du groupe Renew Europe, parlementaire belge estimait avant le vote que « la crédibilité internationale de l’UE était en jeu. ».
Au final, un Cessez-Le-Feu permanent mais sans HAMAS et libération de tous « les otages ». C’est rêver tout éveillé et croire au père Noel que de croire que « ces conditions » soient acceptées par la résistance. La libération des prisonniers de guerre ne se fera que, contre celle des prisonniers palestiniens et HAMAS restera après la fin de cette sale guerre contre des innocents car l’entité sioniste est humiliée jour après jour malgré les pertes humaines que consentent les palestiniens et doit jeter l’éponge sous les yeux de toutes la nations, notamment celles qui la soutiennent aveuglement et qui se sont aperçus après plus de 100 jours de massacres qu’ils soutenaient « UN MONSTRE » et doivent réagir parce que « la crédibilité internationale de l’UE est en jeu et, est déjà assez salie. Avec Euronews
