Jeudi 9 novembre dernier à Madrid, l’ancien président du Parti populaire catalan et fondateur du parti Vox, Alejo Vidal-Quadras, 78 ans, a été touché à la tête par un tir d’arme à feu.
Cet attentat intervient alors qu’un accord polémique entre Sanchez et les indépendantistes catalans divise le pays et les pistes ne sont pas nombreuses à voir le mode opératoire à la James Bond.
« L’action » s’est, en effet, déroulée en pleine rue. L’ancien président du Parti populaire catalan et fondateur du parti Vox, Alejo Vidal-Quadras, a été la cible d’un tireur à Madrid, en Espagne, a rapporté le quotidien espagnol El Mundo, le jour de l’attentat. L’homme politique a été touché à la mâchoire, jeudi vers 13 h 30, à Salamanque, un quartier du centre de la capitale, a précisé la même source. L’individu à moto portait un casque noir et a pris la fuite. Les forces de police envisagent une attaque ciblée et préparée.
Le média espagnol, »OK Diario », traitant l’affaire, avance la piste marocaine et affirme « qu’un «réseau marocain» serait le commanditaire de l’attentat ».
Teresa Gómez, l’auteure de l’article, a déjà affirmé cette hypothèse lors de sa participation à une émission d’une chaîne TV en Espagne, soulignant que l’attentat a pour objectif de déstabiliser l’Espagne par le Maroc.
«Cet Etat souhaite bénéficier d’un moment d’instabilité en Espagne créé par le meurtre d’Alejo Vidal-Quadras pour prendre le contrôle de l’Espagne», avait-elle, alors, déclaré.
Le Parti Vox a toujours pointé du doigt le Maroc l’accusant de déstabiliser l’Espagne par l’invasion migratoire, sa revendication utopique de la marocanité des deux enclaves espagnoles, Ceuta et Melilla .
