Le 9ème Séminaire de Haut Niveau du conseil de Paix de sécurité (CPS) de l’Union Africaine s’est ouvert, ce mercredi à Oran.
La rencontre tend à renforcer davantage la cohérence, la coopération, la coordination, entre le CPS et l’A3 dans l’accomplissement de leurs mandats respectifs. Plus spécifiquement, le Séminaire de Haut niveau vise à s’assurer que l’A3 promeut, articule et défend plus efficacement les positions, intérêts et préoccupations communs de l’Afrique, au cours du processus de prise de décision du Conseil de sécurité de l’ONU sur les questions de paix et de sécurité concernant l’Afrique et ses peuples, conformément aux décisions et déclarations des organes de décision de l’UA.
Le Séminaire de Haut niveau offre également l’occasion aux participants d’échanger sur les situations de paix et de sécurité sur le Continent, y compris certaines questions thématiques connexes, les progrès accomplis dans le traitement de ces situations et questions thématiques, les défis auxquels l’A3 est confronté dans l’accomplissement du mandat qui lui a été confié par l’Afrique ,au sein du Conseil de sécurité des Nations unies, et de tracer collectivement la voie à suivre pour relever les défis identifiés.
La 9ème édition du Séminaire de Haut niveau examinera également l’état de la mise en œuvre des recommandations des Séminaires de Haut niveau précédents, en particulier les Conclusions du 8ème Séminaire de Haut niveau.
Participent à séminaire les membres du CPS, les membres actuels de l’A3, les nouveaux membres de l’A3, ainsi que les Amis du Séminaire de Haut niveau, les invités et certains partenaires de l’UA.
L’ordre du jour s’articule autour de quatre thématiques que sont le Désarmement et contrôle des armes légères et de petit calibre illicites et faire taire les armes en Afrique, réponses Africaines aux menaces émergentes pour la paix et la sécurité sur le Continent et s’attaquer au fléau du Terrorisme et de l’Extrémisme violent en Afrique, imposition et application de sanctions par les organisations internationales et partenaires sur les États membres de l’UA et une meilleure coordination entre le CPS, l’UA et l’A3 pour renforcer la voix de l’Afrique au sein du Conseil de sécurité de l’ONU.
H.G