Après avoir créé la polémique, jeudi lors d’une séance orale au sénat, en mettant en cause les écoles coraniques dans la déperdition scolaire, le ministre de l’éducation, Mohamed Ouadjaout a tenté de rattraper sa bourde en pondant un communiqué dans lequel « il salue le rôle des écoles coraniques dans l’encouragement aux études et à la socialisation, les qualifiant de «principaux piliers» des établissements éducatifs. » Mais le mal a été fait et ses propos ont été enregistrés par l’histoire. Le ministère a tenu « à préciser que la réponse du ministre « portait essentiellement sur les statistiques et les données relatives aux taux de la déperdition scolaire». Trop tard, monsieur le ministre !
Hakim.G