Mourad Amiri, ancien cadre technicien principal des transmissions exerçant à la direction générale des télécommunications au ministère de l’intérieur  n’en démord pas et s’interroge sur les suites de sa plainte pour propos racistes,  déposée  le 7 janvier 2020 contre Naima Salhi, députée de son état.

Amiri a tenu une conférence de presse,   ce mardi en compagnie de ses avocats  par le biais de laquelle il  réclame  du ministre de la justice l’application de  la loi pour tous sans distinction et lui lance un appel afin qu’il prouve que ses déclarations à propos de l’égalité de la justice pour tous ne sont pas de simples  slogans mais une expression réelle de sa volonté d’appliquer la loi et uniquement la loi. D’autant qu’une loi relative à la prévention et à la lutte contre la discrimination et le discours de haine a été promulguée en avril 2020. 

Le conférencier a rappelé ses déboires avec le ministère de l’intérieur depuis sa participation au Hirak affirmant  que les propos tenus à son encontre par Naima Salhi sont inacceptables et  et n’ont aucun fondement allant jusqu’à accuser le ministère de l’intérieur d’avoir organisé  et encadré le Hirak.

Notons que la rencontre avec la presse s’est tenue ce 12 janvier au siège du MDS à l’occasion de la célébration de la nouvelle année Amazigh 2971.

Hakim.G

 

 

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