Des familles et des riverains résidant aux alentours de l’hôtel beau rivage à Bousfer ne savent à qui s’adresser pour que leurs différentes plaintes soient prises en considération.
En effet, Il y a déjà une année, pendant la saison estivale 2019, des habitants de cette partie de Bousfer plage ont dénoncé une situation immorale occasionnée par les dépendances de l’hôtel Beau Rivage dont l’activité principale est la vente de boissons à emporter et les soirées comme c’est connu à la corniche. Nos interlocuteurs dénonçaient à l’époque les désagréments qu’ils endurent toujours, surtout la nuit avec d’incessants va et vient de véhicules et le bruit qui va avec ainsi que les déchets de toutes sortes qui jonchent la chaussée tout au long de l’établissement. Il faut dire qu’il se situe juste en face des colonies de vacances de la DGSN et de l’OPGI et pas loin de la sûreté urbaine de localité.
Cette année, le problème est revenu à l’actualité et aux familles résidentes d’interpeller, début aout, le nouveau chef sûreté de wilaya , fraîchement installé s’interrogeant sur le silence au sujet de différentes plaintes. Celles-ci se rebiffent contre le fait que « ce commerce s’exerce au vu et au su de tout le monde et à des heures indues en infraction totale avec la loi et la réglementation sur la Covid19 qui n’autorise pas encore ce genre de commerce. » On nous chuchote qu’il y aurait , « «même des complicités quelque part puisque nos plaintes n’ont suscité ’aucune réaction » , nous dit un habitant permanent.
D’autre part, le président du front national des libertés (FNL), Mohamed Zerrouki a, sur sa page Facebook, lui aussi dénoncé , photos à l’appui, ce qu’il appelle une anarchie totale à cet endroit et lance un appel au nouveau wali Djari Messaoud pour y remédier.
Y aura-t-il réaction, cette fois-ci ?
Hakim.G
